Aujourd’hui, on dépoussière Lolita, un classique parmis les classiques!
Lolita. Trois syllabes qui roulent sous la langue. Un mythe, un classique.
On connait tous l’histoire, ou du moins la ligne directrice: une jeune fille (très jeune) qui séduit un homme. Un homme d’âge mur.
On connait tous le complexe qui porte son nom: le complexe de Lolita, soit les hommes attirés par des jeunes femmes (jeunes filles, à vrai dire) beaucoup plus jeunes qu’eux.
Il y a eu des films, il y a eu la chanson. Lolita fait partie de notre inconscient collectif. Lolita m’attirait et me faisait peur en même temps. Un livre acheté un soir dans une rue de Pékin, à côté d’un petit barbecue de rue. Lolita, tu sens le roussi…
Un joli livre, ni trop épais ni trop court, à la couverture blanche évoquant l’aveuglant soleil d’été. Et au milieu, une apparition: cette jeune fille qui lit dans l’herbe sans se soucier de ce qui…
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J’ai beaucoup aime ta chronique par contre je n’avais pas vraiment accroche avec ce classique. Je l’avais lu en anglais et je pense avoir perdu peut etre de la subtilite des mots et du texte car j’avais eu l’impression de passer a cote de ce que les gens decrivaient comme un roman genial. C’etait comme tu le dis derangeant, j’avais du mal a m’y tenir. Un jour peut etre je le relirais mais en francais cette fois ci ( meme si l’auteur l’avait ecrit en anglais qui n’etait pas sa langue natale!)
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Merci pour le compliment 🙂
Effectivement sous le lyrisme des mots, se cache une sordide pédophilie. J’ai vraiment été dérangée par ce livre car, étant dans la tête du pédophile, on le « comprend »… d’un point de vue strictement littéraire, j’ai été enchantée par les tournures de phrases. Je pense que c’est cette ambivalence qui en fait un grand roman…
Effectivement quand on lit dans une langue étrangère, on peut se retrouver « post in translation » 😉
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